Hai bisogno di informazioni precise ? Trova il prezzo e altre valutazioni grazie alla nostra banca dati di opere d’arte africane. Mbole Fussreif Kongo
Descrizione : MBOLE FUSSREIF
Kongo. Ø 27 cm. Kupfer.
Nachlass Dr. Roland Hartmann, St. Gallen.
Seit jeher begleitet und fasziniert Schmuck in verschiedensten Formen und Materialien die Menschen aller Kulturen.
Aus kultureller Sicht sind Arm- und Fussreifen, Amulette und Colliers aber viel mehr als nur Schmuckstücke. Speziell in Afrika werden die Preziosen nicht nur für ihrer Schönheit geschätzt, sondern auch als magische, schützende Kräfte verehrt.
Auch in Westafrika sind Ornamente Teil der religiösen Überzeugungen und symbolisieren Rang und Zugehörigkeit der Träger. In einigen ethnischen Gruppen verordnen Wahrsager das tragen von schützendem Schmuck der die bösen Geister fern hält. Wenn der Besitzer stirbt, beherbergt sein Schmuck ein Teil seiner Seele und erinnert so an den Verstorbenen.
Aufgrund des Wertes der verarbeiteten Rohstoffe waren solche Schmuckstücke auch Wertanlage und wurden im Handel als vormünzliche Zahlungsmittel verwendet. Dieses sog. Primitivgeld wurde in standardisierte Formen gegossen oder geschmiedet und über weite Strecken getauscht.
Die Verwendung von importierten Manillas aus Kupferlegierungen als Tauschgegenstände geht in Afrika mindestens auf das 16. Jh. zurück, als die Portugiesen in Westafrika Handelsstationen errichteten. Im laufe der Zeit wurden diese Importwaren immer wieder eingeschmolzen und weiterverarbeitet. Es entstanden so neue Formen und auch andere Materialien, wie z.B. Eisen, wurden zunehmend in der gleichen Art gehandelt.
Zu Beginn des 20. Jahrhunderts verboten dann die meisten Kolonialmächte Schmuckreifen und anderen Geldformen als Zahlungsmittel um ihre eigenen Währungen zu etablieren.
Weiterführende Literatur: Adolfo Bartolomucci et al. (2012). African Currency. Milano: African Art Gallery.
BRACELET DE CHEVILLE MBOLE
Congo (RDC). Cuivre. Diamètre: 27 cm
De tout temps, sous des formes et dans des matières très variées, les bijoux ont accompagné et fasciné les hommes de toutes civilisations.
D'un point de vue culturel, bracelets, amulettes et colliers sont bien plus que de simples parures. En Afrique spécialement, les objets précieux ne sont pas seulement appréciés pour leur beauté, mais aussi pour les pouvoirs magiques ou protecteurs qu'on leur attribue.
En Afrique occidentale, notamment, la parure se rattache étroitement aux croyances religieuses et marque le rang ou l'appartenance de la personne qui la porte. Dans certains groupes ethniques, c'est le devin qui prescrit le port de bijoux protecteurs afin d'éloigner les mauvais esprits. Quand le possesseur d'un bijou meurt, ce dernier abrite encore une partie de son âme et rappelle ainsi le souvenir du défunt.
Vu la valeur des matériaux travaillés, de tels bijoux étaient aussi considérés comme un investissement et utilisés dans le commerce comme moyen de paiement prémonétaire. Cette 'monnaie primitive' était coulée ou forgée dans des formes standardisées et échangée parfois sur de longues distances.
L'emploi de manilles importées en alliage cuivreux comme moyen d'échange apparaît en Afrique dès le 16e siècle au moins, au moment où les Portugais établissent des comptoirs commerciaux sur les côtes d'Afrique de l'Ouest. Au fil du temps, ces denrées importées n'ont cessé d'être refondues et retravaillées. Ainsi sont apparues de nouvelles formes, et d'autres matériaux comme le le fer ont été de plus en plus travaillés selon les mêmes techniques.
Au début du 20e siècle, la plupart des puissances coloniales ont interdit l'emploi de bracelets ou d'autres formes d'argent comme moyen de paiement afin d'imposer leurs propres monnaies.
Bibliographie: Adolfo Bartolomucci et al. (2012). African Currency. Milano: African Art Gallery.
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